17 juillet 2016


Triste lendemain de défaite. Certains ont trouvé une manière particulière de fêter la victoire du Portugal. Regrettable. 
Un peu de sable, un peu de temps et le green du 10 retrouvera son intégrité.



Des nouvelles du front. A l'Estérel, il ne reste plus qu'un sanglier. Un petit. Les dégâts ont été remis. Sauf au putting où nous devons d'abord réparer une fuite pour assécher la zone avant de la réensemencer. A l'Académie, nous avions identifié et clôt deux points d'entrées. Il en reste un troisième qui sera bouché la semaine prochaine. A partir de là, les choses iront mieux.





Les roughs sont hauts. La faute à notre tondeuse qui est tombée en panne. 


En attendant, nous avons remis en service notre machine de secours. Mais ne tondant que sur 1,50 au lieu de 3,40, nous avons privilégié les abords de greens et de départs. L'essentiel est sauf, mais il faudra patienter une autre semaine pour que tout rentre dans l'ordre.



Gros, gros coup de vent en région PACA. La nuit de jeudi à vendredi a été extrêmement agitée. Et, au matin, le terrain en portait les stigmates.




Nous n'avions pas le choix. Au détriment de certaines tontes et du ratissage des bunkers, l'équipe s'est consacrée au nettoyage de l'ensemble des surfaces de jeu. Et il n' y avait pas de trop d'une journée pour tout remettre en ordre. 

Mais, au regard du drame vécu par tant de personnes à Nice, tout ceci a-t-il vraiment de l'importance ?





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